Pique nique du 18 novembre 2008

Charles entra dans le bureau d'Azalée, celle-ci était en train de s'échiner sur le planning de l'Université de Savoie. Elle était si concentrée qu'elle ne l'avait pas entendu entrer. Il s'approcha donc le plus doucement possible... et l'enlaça. surprise, elle eût un sursaut et un frisson, auquel son baiser dans le cou fit écho...

"Bonjour mon amour..."

Azalée était concentrée sur ses plannings: certains professeurs n'étaient pas contents: est-ce sa faute si quelques uns d'entre eux étaient puls érudits que d'autres?
Elle comptait le nombre de professeurs en institution: 22!! celà devenait énorme!

Elle soupira puis ................... Deux bras l'enlacèrent. Elle sursauta, n'ayant pas le temps d'être effrayée:elle reconnaissait un parfum aimé lorsqu'un baiser se posa dans son cou et la fit frissonner.

Elle sourit, heureuse lorsqu'elle entendit la voix de son Bienaymé:

Citation :

"Bonjour mon amour..."

Son coeur se mit à battre la chamade comme à chaque fois que Charles était proche d'elle.
Posant ses parchemins, elle se laissa aller contre sa poitrine ......

Bonjour mon Bienaymé ...

"Je te vois soucieuse... perdue dans ton travail. Permet-moi de te ravir, te t'enlever pour une ballade. Juste le temps que tu te mettes en tenue et nous partons pour un pique nique... cela vous convient-il, Ma Dame ?"

Charles et azalée entrèrent en même temps dans la bibliothèque, il avait en effet demandé à ce qu'on apprête les chevaux.

"Tu es magnifique !" lui déclara-t'il en l'appercevant dans sa robe verte... "j'avais oublié que tu étais si bonne couturière depuis que tu passes ton temps dans les bobliothèques et les amphithéatres... " lui dit-il en l'embrassant.

"Je t'emmène vers le Nord, nous dormirons ce soir à Gex..." répondit-il avec un regard plein de sous-entendus... "...mais il faut tout d'abord que je passe à trois petits endroits".
Devant la mou de déception de sa Bien-Aymée il ajouta "... dont un ravissant petit bois avec une source d'eau claire où l'on entend que le chant des oiseuax, les gargouillis de la source et le murmure du Bonheur..." et sur ces mots il l'embrassa